Discours d’adieu prononcé par le Président Dwight David Eisenhower, le 17 janvier 1961. Général cinq étoiles de l’armée américaine, et commandant en chef des forces alliées en Europe

Dans les assemblées du gouvernement, nous devons donc nous garder de toute influence injustifiée, qu’elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe militaro-industriel. Le risque potentiel d’une désastreuse ascension d’un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques.

Prologue

5 juillet 1942

Les cris des enfants s’éloignaient, le maître, un jeune homme qui semblait tout juste sorti de l’adolescence, rangeait ses affaires dans un vieux cartable d’écolier. Il s’arrêta un instant, se leva, fit le tour de la classe qui avait été son domaine pendant deux ans. Il imprégnait sa mémoire de chaque détail, de chaque parfum, il en éprouvait un besoin viscéral, une voix lui disait que dans les temps qui allaient venir il aurait besoin de se rappeler les couleurs et les odeurs de cette période. Mais il éprouva aussi un pincement d’excitation à l’idée des camarades qui l’attendaient là-bas. Depuis son retour de Narvik, il lui semblait qu’il avait surtout dû avaler une mauvaise soupe : celle de la reddition et de la défaite. La seule perspective qui se dessinait de plus en plus clairement dans sa tête était de répondre à cette invitation que lui avaient faite les camarades légionnaires. «  Ne nous oublie pas et surtout n’oublie pas de venir nous voir. » A son retour et devant l’étendue de son impuissance face à la signature de l’armistice, il avait voulu aller jusqu’au bout de son envie d’enseigner, la république lui avait donné le titre de maître  et il avait tenu à honorer son contrat, l’honneur ne se partageait pas lui avait appris son père. Son père qui, la veille au soir,  lui avait une énième fois donné lecture des accords d’armistice que le maréchal avait  signé le  25 juin 1940. La Savoie avait été en partie donnée aux Italiens. Mussolini

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roman, politique, policier

Pure fiction : un parfum d’ambroisie

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Ce matin une manifestation syndicale était interdite à Paris, jusque là rien à dire. Puis avant midi on apprenait qu’elle était autorisée?

Nous avons eu de nombreux ténors qui sont venus expliquer que c’était une honte, anti démocratique et j’ai même entendu des intervenants de tous  bords venir nous expliquer cela.

Coup de tonnerre en fin de matinée, on apprenait du ministère de l’Intérieur que la manifestation était autorisée, venant en cela  contredire le préfet de police de Paris, je vois mal ce dernier prendre une telle décision sans lui en référer et sans son ordre.

C’est quoi cette chienlit, ce bordel organisé tel un BMC. Ils sont dans un maelström infernal et ils ne savent plus à quoi se raccrocher, cela n’est pas le plus grave, ce qui est grave c’est ceux qui en supportent les conséquences.

-1/ Les hauts fonctionnaires qui sont bafoués et qui n’osent plus décider de peur d’être contredit?

-2/les fonctionnaires de police  sur le terrain qui ne savent plus si un pilote est encore dans l’avion?

Ce qui est déplorable ce n’est pas qu’une manifestation soit interdite ou non c’est que cet état de fait semble s’appliquer à l’ensemble des décisions de ce gouvernement et là cela devient réellement inquiétant.

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Un pas en avant, deux pas en arrière.

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Non mais

Lettre à André Chassaigne (par Jean-Paul Duparc, PCF)

samedi 18 juin 2011.

Pour prendre connaissance des travaux de la Conférence Nationale du PCF, j’ai lu ton intervention lors de cette Conférence Nationale, ainsi que L’Humanité de ce lundi, le texte de la résolution adoptée et aussi divers blogs dont celui d’André Gérin.

D’un certain point de vue, mais qui est radicalement opposé au mien, André Gérin, qui appelle à voter « massivement pour la candidature d’André Chassaigne » énonce lui un objectif clair : » Si Jean Luc Mélenchon n’est pas désigné, il n’y aura plus de Front de gauche », visant l’espoir que « Mélenchon soit mal élu ou pas élu du tout ».

Et je trouve qu’il est plus franc que les contorsions et les silences de ta déclaration, qui par exemple, et ce n’est qu’un exemple, ne dit pas un mot des conditions et de la possibilité d’un accord pour les élections législatives.

En ce sens je trouve qu’il ne faut pas (se) mentir : Dire comme tu l’écris comme axe pour proposer ta candidature  » comment les communistes peuvent ils être les meilleurs artisans du succès électoral du Front de gauche ? » et en même temps être soutenu par la coalition hétéroclite de ceux qui, au sein du PCF, en veulent la mort me semble un non sens. ( qu’il s’agissent des personnes de sensibilité huiste pour l’alliance prioritaire avec le PS et qui ont fait le plus souvent des listes communes avec le PS dès le 1er tour aux régionales ; ou des « identitaires » façon Gérin ). Le vote des adhérents mi juin n’est pas une « primaire » au sens où ce n’est pas un simple choix entre deux personnalités, toutes choses étant égales par ailleurs quant aux accords politiques possibles et au devenir du Front de gauche.

L’intérêt de la résolution portée par la conférence nationale est de porter la possibilité d’un accord politique global qui, pour répondre aux besoins populaires de perspectives politiques, invite à faire franchir une « nouvelle étape au Front de gauche » : un programme partagé, une démarche stratégique, un accord pour les élections législatives qui respecte l’influence et l’organisation communiste avec une proportion de l’ordre de 80% des candidatures, et dans ce cadre une proposition que le candidat à l’élection présidentielle soit Jean Luc Mélenchon, pour une campagne également partagée.

Ce que ton texte ne dit pas André, c’est que si par malheur ta candidature était retenue, c’est la possibilité même ce cet accord qui serait mis à bas pour le seul profit du gâchis d’une espérance, celle de la possibilité de porter fortement une autre voie collective à gauche, pour le seul profit finalement du PS et de la droite.

Car je suppose que personne ne vit chez les bisounours en pensant que pour nos partenaires politiques, il pourrait y avoir à la fois un communiste comme candidat commun à la Présidentielle et 80% des candidatures communistes aux législatives. Le Front de gauche serait effectivement mort, et il n’y aurait plus qu’un « rassemblement » autour du seul PCF avec quelques « compagnons de route ».

Il y a quelque chose qui ne s’assume pas dans ta démarche, dans cette façon de dire à la fois « ma candidature est pour le front de gauche » et de devenir ( « à l’insu de ton plein gré » ????) l’instrument de ses pires adversaires au sein du PCF.

Et il y a quelques chose qui trompe les communistes, en leur faisant miroiter que, sans dommage, il auraient simplement le choix entre deux personnalités différentes.

J’ai tout à fait respecté ta proposition de candidature quand tu l’a émise il y a quelques mois, même si je ne l’ai pas soutenue, et d’ailleurs elle n’était pas une décision collective et je ne me sentais comme communiste nulle obligation de la soutenir.

Mais force est de constater qu’elle prend une autre tournure à l’issue de la conférence nationale : elle devient, à mes yeux, l’instrument de tout ce qui tire le PCF en arrière.

Militant depuis plusieurs années, je sais que nous sommes depuis des années en recherche de faire émerger de nouveaux outils politiques. Dès les « Espaces Citoyens » dans les années 1990. En 2007, j’ai soutenu et partagé la candidature de Marie George Buffet, et j’assume tout à fait qu’alors il n’y avait aucune autre réelle possibilité. ( ce qu’il est advenu depuis de Bové le montre assez !).

Mais justement depuis quelques années, avec le Front de gauche, nous avons été initiateur de cet effort politique du Front de gauche, qui évite les errements des collectifs antilibéraux, et qui est bel et bien la seule fenêtre politique d’espoir qui se soit entrouverte depuis plusieurs années dans notre pays.

Je tiens autant que toi au rôle et au rayonnement du PCF au sein du Front de gauche et plus largement dans la société. Il me semble que pour le présent comme pour l’avenir il est bien plus important pour le PCF d’avoir cet accord global à portée de main, dont cet ancrage très large pour les législatives qui sera le coeur d’une campagne collective, bien plus qu’une seule candidature à la Présidentielle.

Et ce n’est certainement pas en cassant la possibilité d’un accord global du Front de gauche, qui est à portée de main avec la résolution proposée par la Conférence Nationale, que nous permettrons quoique ce soit d’avenir pour le PCF lui même.

Voilà pourquoi, en même temps que je ne conteste nullement ton droit d’avoir maintenu ta candidature, je trouve que les arguments avec lesquels tu la maintiens sont porteurs de confusion ne serait ce que par omission , sur les véritables enjeux.

Jean Paul Duparc

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La nouvelle région et les régionales

la cuisine locale est en cours pour savoir qui va être choisi pour monter au cocotier; Le chef qui sera choisi devra entraîner  derrière lui différentes tribus celles qui se sont regroupées au sein de l’udI (nouveau centre,  le parti radical etc);

lors des départementales l’union des responsables locaux a permis à l’élection d’un responsable du Modem et d’une Ump, la donne est aujourd’hui radicalement différente, qui sera le chef de file pour représenter toutes ces tendances du centre et de la droite.

Le modem, les tribus udi et les républicains; il faut un  homme de conviction mais aussi un homme qui saura faire la part des choses et respecter les différentes composantes, un homme de dialogue, un homme qui ne sera pas coincé dans ses idées, un homme qui réussira l’amalgame des uns et des autres, un homme qui ne voudra pas imposer sa façon de faire et de voire;

un homme qui saura s’éloigner des vengeances des uns et des autres un homme certainement d’un parti mais pas partisan de la pensée unique tombée du haut des gradins parisiens;

il nous faut un  homme qui désire le bien de cette nouvelle région, pour la région et non pas un homme qui cherche un marche pied vers un destin qu’il imagine sublime;

Réussiront-t’ils à nous le trouver cet homme,  ou les élections dans la nouvelle région Rhône-Alpes-Auvergne  seront t-elle les prémices d’une élection présidentielle ou ceux qui s’imaginent indispensable ne sauront pas voir l’intérêt de notre pays, mais seulement leur EGO.

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LE MAL FRANCAIS

LE MAL FRANCAIS

Il y a maintenant quelques décennies un ancien Ministre du grand Charles avait écrit un opuscule « la mal français »

Dans cet ouvrage il montrait tous les blocages de notre bon vieux système ainsi que le malaise issu du comportement de certains membres  de notre classe dirigeante;

les choses ont-elles changé? que nenni, elles ont empiré.

les rois avaient pendant des siècles confondu cassette privée et cassette publique c’est la raison, peut-être, qui a conduit le bon peuple françois à couper la tête du serrurier en chef de la dynastie.

Mais qu’en est-il aujourd’hui mes seigneurs?

Les descendants des sans culottes, de droite et de gauche,  font exactement la même chose, mais ce qui me pousse a ce petit billet d’humeur c’est la réponse qui nous a été donné à nous le « vulgus » reprise par la meute journalistique inféodée :

mes chers amis, camarades et compagnons vous ne rêvez pas :

le héraut du seigneur nous a fait savoir :

il restait deux places dans l’avion cela n’a rien coûté à la populace….

Donc si je comprends bien, lorsqu’il reste des places de libre dans un avion, dans un bateau, dans un train, dans un bus, on peut monter sans payer étant donné que le coût n’en sera pas augmenté!!! CQFD

je ne ne parlerai pas de la définition de l’abus de bien social, je ne parlerai pas de l’enrichissement sans cause, je ne parlerai pas des notes de taxi;  je ne parlerai pas des mensonges patentés qui nous ont été déversés, je ne parlerai pas, je ne parlerai pas…

Effectivement ce n’est pas grave mais ce n’est tout simplement plus admissible, car mes bons chers soeurs et frères, ce que nous avons là se répète dans les sous couches de notre gouvernance; dans le mille-feuille tant décrié;

Posez-vous la question : pourquoi notre société est-elle en pleine déliquescence?

La cour des rois a été remplacée par une nouvelle cour dont le seul but est de se remplir les poches avec des passe-droits, des avantages, des prébendes, comme l’ancienne, car comme l’a dit une communicante du grand chef actuel : Vous avez conscience, brave peuple, de la dure vie qu’il mène pour votre bonheur…..

Je n’aurai qu’une seule réponse à tout cela

FOUTAGE DE GUEULE

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Pour les départementales privilégions le produit original à l’ersatz

Dans ses élections départementales nous voyons des hommes et des femmes qui se présentent sans étiquette?  Si je conçois parfaitement que le niveau communal puisse se dispenser d’une affiliation politique cela n’est plus possible dès que l’on passe au niveau supérieur. J’entends la question poindre, mais pourquoi?

Cela est très simple :

1/ Il s’agit là d’une société (le conseil départemental) qui nécessite des appuis et des relations pour défendre sa position, la solitude à ce niveau conduit à l’inefficacité, non?

2/ Nous avons besoin d’une action rapide, lorsque l’on arrive isolé dans la cours de l’école il faut un temps d »adaptation, or nous n’avons pas le temps, non?

3/ La solution serait alors une volonté caché de rejoindre notre mouvement, alors pourquoi prendre un ersatz alors que nous avons le produit original avec PRUNIER SAUVADE, non?

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Les départementales : un changement de majorité pour un changement de mentalité

Les élections départementales se profilent avec l’arrivée du printemps qui est une période de renouveau de la nature. Plusieurs questions se posent :

1/ Le mandat que nous avions confié au conseiller général sortant (qui deviendra conseiller départemental) a t-il été rempli de façon efficace. ( quid des routes, des télecom, des emplois des infrastructures etc)

2/ Les impôts du département ont augmenté et la collectivité dans son ensemble en a t-elle bénéficié?

3/ Les économies sont-elles bien réparties?

4/ Le nombre de fonctionnaires départementaux doit il encore augmenter?

Si vous répondez oui à toutes ces questions alors c’est que vous appréciez le travail accompli, mais si vous êtes comme moi et que vous en avez assez d’être pris pour le corbeau de la fable de Jean de la fontaine  alors tournez vous PRUNIER-SAUVADE qui ont été désigné par  l’union des républicains qui regroupe  (le parti radical, l’UDI, le MODEM et l’UMP)

La droite, je dis bien la droite dans son ensemble a désigné ses émissaires pour mener une autre politique sur notre département et en finir avec des potentats locaux qui avec le temps sont devenus des fonctionnaires de la politique.

Nous voulons des élus qui agissent pour le bien commun et le regroupement des hommes avec idées différentes mais proches est un gage pour qu’un changement de majorité accompagne un changement de mentalité et donc ne vous laissez pas, comme Ulysse, attirer une fois de plus par les promesses des sirènes car le réveil n’en sera que plus dure.

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Nous sommes tous des moutons?

Assez de ces banquiers qui ont détruit notre économie pour augmenter leurs dividendes, nous le savons tous mais nous ne faisons rien. Combien sommes nous à avoir protesté? Que faisons nous? RIEN

Assez de ces grandes surfaces qui augmentent les prix en payant les producteurs avec un lance pierres, ne laissant qu’un seul choix à ces femmes et ces hommes, la mort, que faisons nous? RIEN

Assez de ces taxes en tout genre qui fleurissent années après années, que faisons nous? RIEN.

Assez de ces autoroutes dont le prix augmentent sans arrêt. On nous dit qu’ils ont bien négocié avec l’état, mais qui a négocié et où sont-ils aujourd’hui? que faisons nous?RIEN

Assez de ces rentiers de la politique qui s’en mettent plein les poches sur notre dos et nous font la leçon à longueur de temps<<; <que faisons nous? RIEN

Assez de ces histoires à dormir debout que l’on nous raconte à longueur de journaux télévisés.Que faisons nous? RIEN

Assez de cette gauche qui ne veut plus rien dire. Que faisons nous? RIEN

Assez de cette droite qui ne veut plus rien dire. Que faisons nous? RIEN

Alors nous méritons notre sort et nous serons plus des moutons, mais des agneaux qu’ils vont dévorer.

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les finances publiques locales

Voila ce que recommande la cour des comptes sur les finances publiques locales :

La Cour formule 15 recommandations, dont :
en ce qui concerne l’incertitude d’une maîtrise accrue des finances publiques locales
– répartir la baisse des dotations de l’État entre catégorie de collectivités (communes, intercommunalité, départements, régions) en prenant davantage en compte leur situation financière respective, particulièrement l’existence de marges plus importantes dans le secteur communal ;

– adopter une loi de financement des collectivités territoriales fixant à titre prévisionnel des objectifs d’évolution des recettes, des dépenses, du solde et de la dette des différentes catégories de collectivités ;
en ce qui concerne la nécessaire rationalisation administrative et financière du « bloc communal »

– réduire le le nombre des structures intercommunales et transférer les compétences des communes aux groupements existants (communautés de communes et d’agglomération, notamment) par champs entiers d’intervention et non plus de façon parcellaire ;

– poursuivre la mutualisation des services des communes et de leur intercommunalité et stabiliser les dépenses de personnel du « bloc communal » par des réductions d’effectifs, une pause des mesures de revalorisation indemnitaire, une meilleure maîtrise des déroulements de carrière et un alignement du temps de travail sur la durée légale ;

en ce qui concerne les conditions de l’équilibre structurel des régions
– recentrer les interventions des régions sur leurs politiques publiques prioritaires ;
– réexaminer la structure de financement des régions ;
en ce qui concerne le nécessaire développement de la péréquation financière
– simplifier les dispositifs de péréquation pour les rendre plus efficaces ;
– poursuivre la montée en puissance des dispositifs de péréquation « horizontale » ;
– créer une dotation globale de fonctionnement (DGF) unique pour le « bloc communal ».

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